La fédération offre des opportunités aux membres : « nous offrons des formations pour les entrepreneurs membres de la chambre. Nous assurons la plaidoirie entre eux et le gouvernement. En gros nous assurons leur encadrement au plus haut niveau et ils bénéficient des moyens de promotion via les medias», fait savoir le directeur de la communication.
La cotisation varie selon le nombre de membres de chaque chambre sectorielle « la cotisation minimale est de 500.000Fbu par an et pour chaque chambre. Mais elle peut aller au-delà selon que le nombre de membres de la chambre est élevé », ajoute le directeur.
La CFCIB intervient dans plusieurs angles selon les moments et les activités « nous jouons l’intermédiaire entre le secteur privé et le gouvernement. Nous avons aussi le devoir de défendre les intérêts de nos membres. Nous faisons la promotion du secteur privé, moteur du développement économique du pays », explique le directeur.
Le directeur de la communication au sein de la chambre fédérale parle des conditions d’adhésion et des projets en cours : «pour adhérer à la chambre fédérale, il faut avoir créé une chambre professionnelle, être dans le secteur professionnel. Nous avons un projet avec la BAD pour la formation des entrepreneurs. Nous avons aussi un grand projet de créer un site pour les foires. Nous nous sommes classé 3 fois premiers au niveau africain pour le prix du meilleur informateur».
Jean Jacques NTAMAGARA, directeur de la communication et du marketing explique la structure de la chambre fédérale. « La CFCIB est subdivise en deux groupes : les chambre sectorielles et la chambre transversale. La chambre transversale est subdivisée à son tour en deux sous-groupes dont la chambre sectorielle des femmes commerçantes et femmes d’affaires et la chambre sectorielles des provinces ».
Les défis de la chambre fédérale sont de plusieurs sortes. « Il y a un manque de fonds suffisants pour engager les cadres et agents en charge de l’encadrement. Il y a aussi la difficulté de négocier avec le gouvernement pour la diminution des charges et enfin l’état financier des membres » précise-t-il.
La Chambre Fédérale de Commerce et de l’Industrie du Burundi est née en Avril 2010 en remplacement de la chambre de Commerce, d’Industrie, du Commerce et d’Artisanat du Burundi. La CFCIB est née dans le but de collecter les efforts qui étaient dispersés. Elle compte aujourd’hui entre 2000 et 2500 membres ayant un numéro d’identification fiscale. On les appelle les membres actifs. Elle a aussi un media qui lui appartient : la CCIB FM+. La CFCIB est un Association sans but lucratif.
La CFCIB a pour objet d'initier, de proposer et de soutenir toutes les actions visant à améliorer l'environnement des affaires en vue du développement du secteur privé.
01, Avenue Mpotsa
RoheroI ,Bujumbura-Burundi
+(257)22222280
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